Terrasse en copropriété : ce qu’il faut savoir

La vie en copropriété est régie par des règles que les résidents doivent respecter afin de vivre en parfaite cohésion. Mais certaines personnes ne savent pas à quoi s’en tenir lorsqu’elles sont copropriétaires d’un logement dans un immeuble. En effet, ce genre d’habitation peut faire l’objet de travaux en vue d’y rajouter un espace. Celui-ci se présente sous forme d’une extension relié au bâtiment ou positionné sur le toit. Il appartiendra ainsi aux copropriétaires de maitriser les caractéristiques de la terrasse afin d’en jouir légalement. Voici donc ce qu’il faut savoir sur cet espace.

Quelles sont les différentes sortes de terrasses en copropriété ?

Plusieurs types de terrasses peuvent exister en copropriété. Elles diffèrent toujours de par l’endroit où elles se situent sur l’immeuble. Celles-ci peuvent se présenter sous forme d’une extension rattachée à une partie du bâtiment ou faire partir de l’architecture initiale de l’immeuble. On pourra dès lors parler du balcon-terrasse qui est une structure de petite taille ajoutée à un appartement et qui peut servir de débarras à un copropriétaire. 

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Si auparavant, il n’y avait pas de balcon sur ce logement, cette construction sera dénommée terrasse surélevée. La mise en place de cette structure nécessite toutefois, une autorisation de la municipalité ainsi que celle de la copropriété. Ce permis est également nécessaire lors des travaux d’étanchéité d’une terrasse en copropriété.

Les normes relatives à la construction d’une terrasse en copropriété 

La construction d’une extension au sein d’une propriété commune est assujettie à des règles strictes que les copropriétaires doivent scrupuleusement respecter sous peine d’encourir des sanctions. Contrairement à la déco de votre habitat, ce genre de travaux peut changer l’apparence d’une propriété commune, d’où la nécessité de réunir les différents copropriétaires en assemblée générale. 

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Cette dernière procédera donc à un vote en vue de légaliser la construction. Conformément à l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965, seule la majorité des voix l’emportera.

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